Loin d’être un opium, l’optimisme est le stimulant par excellence, la solution pour contrer ce qui plombe l’ambiance. L’optimisme aveugle ? Qu’importe, s’il permet d’avancer ! L’optimiste a la foi, et la foi est le désespoir des casse-couilles. Dans chaque homme qui meurt, il y a un optimiste qui renonce !
Qu’est-ce qui le rend si joyeux en ce dimanche matin plein de givre ? te demandes-tu, lecteur lève-tôt. Ceci : 528 000 foyers ont payés l’ISF en 2007. (http://www.lefigaro.fr/impots)
En 2006, ils n’étaient que 457 000, même pas un demi million. Une sorte de micro société, un groupuscule, une légion de sans-voix, en équivalent-audimat : des nains. Et
La propagande populisto-socialisto-cégétisto-minable prétend, contre toute évidence, que les riches ne sont qu’égoïsme, qu’ils en veulent toujours plus et ne rendent rien au pays : Hé ! Ho ! L’ISF a rapporté 4,42 milliards en 2007, et pas des milliards de francs, passéistes ! des vrais milliards européens, du solide, du milliard que le monde entier nous envie, du milliard moderne ! Ha les riches ne pensent qu’à eux ? Ha l’ISF ne rapporte rien ? Ha il coûte plus que ce qu’il rapporte ? Attendez-voir, qu’on s’y mette ! « Ensemble, tout devient possible », qu’il disait. Y’a pas que les crevards qui ont la main à la poche, et le financement du pays, c’est pas que les secrétaires, les pompistes et ces connards de buralistes qui l’assurent ! En matière d’impôt et de solidarité nationale, le Pèzident est en train de démontrer que les riches peuvent faire aussi bien que les pauvres !
Dans cette France où tout diminue, cette France qui perd les coupes du monde, cette France qui ne croit plus au Père Noël et qui dénigre François Fillon, la multiplication des assujettis à l’Impôt de Solidarité sur